CAP Poissonnerie : les douze élèves ont trouvé un emploi
Le Conseil exécutif réuni le 17 mai 2017 a validé le cofinancement du Fonds social européen (FSE) sollicité par la Chambre consulaire interprofessionnelle de Saint Martin (CCISM) au titre de la formation en mobilité CAP POISSONNERIE.
Le coût total de l’action est de 129 061 € avec une participation du FSE à hauteur de 71%, soit 91 221 €. La Collectivité participe également au financement de cette formation à hauteur de 20 000 €. L’autofinancement de la CCISM s’établit à 17 840 €.
Cette formation est dédiée aux jeunes NEET (ni en emploi, ni en études, ni en formation). Ils étaient 12 à participer à cette formation à Boulogne sur Mer, pour une durée de 728 h (dont 70h de formation en entreprise) réparties entre le 1er Janvier et le 31 décembre 2017. Huit ont déjà obtenu leur diplôme en juillet mais sont suivis jusqu'en décembre dans le cadre des fonds européens. Deux d'entre eux sont employés à Saint-Martin, six en métropole. Les quatre qui n’ont pas eu leur examen travaillent aussi. Tous ont donc trouvé un emploi et deux d'entre eux sont également en train de créer leur entreprise.
L'objectif de cette formation était de qualifier des jeunes saint-martinois aux métiers de la poissonnerie et de les rendre employables immédiatement par le marché local.
Dans le cadre de cette formation en mobilité, la CCISM a mandaté le Centre de Formation aux Produits de la Mer et de la Terre (CFPMT) et le cabinet ALVI Management retenu pour l’accompagnement des jeunes sur place sous forme de tutorat afin de favoriser l’immersion culturelle et sociale dans le nouvel environnement. Avant le départ, les 12 jeunes ont bénéficié d’une remise à niveau dans les matières fondamentales d’enseignement au GRETA de Saint Barthélémy et de Saint Martin.
La collectivité a annoncé vouloir poursuivre l’accompagnement de ce type d’initiative.
Commentaires
Félicitations aux jeunes qui
Félicitations aux jeunes qui ont choisi la mobilité pour monter en compétences et s'intégrer économiquement.
Pour ma part, je préfère continuer à déplorer l'épave EL MAUD et que soient financées 20 autres actions comme celle-ci dans des métiers porteurs ....
Compliments à Magguy !