Heineken Regatta : les actions des autorités françaises
Au niveau administratif tout d'abord, la préfecture déléguée a sollicité auprès de l'organisateur le dépôt d'un dossier de demande de manifestation nautique, qui a été instruit par l'unité territoriale de la direction de la mer, avec consultation notamment des autres services de l'Etat (Gendarmerie, garde-côtes, Action de l'Etat en Mer), du CROSS Antilles-Guyane, de la SNSM, de la réserve naturelle de Saint-Martin ou encore du sanctuaire marin AGOA, indique la préfecture dans un communiqué de presse.
Suite à un travail collaboratif entre ces différents acteurs, avec entre autres une réunion de travail entre les organisateurs de la régate et les services et associations concernés le 18 février dernier, un arrêté préfectoral réglementant les conditions de passage de la Heineken Regatta dans les eaux françaises a été signé le 26 février.
Dans ce cadre, et afin de garantir la sécurité de la course et des participants, des moyens matériels et humains ont été déployés : unité territoriale de la direction de la mer, brigade des garde-côtes, brigade nautique de la gendarmerie, gendarmerie maritime, SNSM. Au total, ce sont 6 navires d'intervention français dont le patrouilleur côtier de la gendarmerie maritime, « la Violette », qui ont été chargés de faire respecter les dispositions en matière de sécurité maritime de l’arrêté préfectoral susmentionné.
De même, conformément aux dispositions de cet arrêté, la Réserve naturelle et le sanctuaire marin AGOA ont pu mener une action d'information et de sensibilisation des organisateurs et des participants sur les risques potentiels de collision avec les grands cétacés, présents au large de Saint- Martin en cette saison.
Commentaires
On est sauvé, on a trouvé du
On est sauvé, on a trouvé du travail aux fonctionnaires... Ils ont pu sortir les bateaux et aller se promener au soleil et regarder passer les bateaux de la HR. Comme si on avait besoin d'eux. Pauvre France !