Guillaume Arnell présente le 1er numéro de «la lettre du sénateur»
C'est entouré des siens et de «collègues» politiques autour d'un dîner* que le sénateur Guillaume Arnell a présenté sa «lettre» la semaine dernière, une brochure de vingt pages qui résume son travail parlementaire durant une année.
L'élu confie avoir mis toute son énergie à «défendre les intérêts de Saint-Martin» lors d'interventions dans l'hémicycle, des travaux effectués en commission ainsi qu'au sein du groupe politique auquel il appartient, RDSE (Rassemblement Démocratique et Social Européen). Une énergie et une «implication» dont Guillaume Arnell veut témoigner et «rendre compte». «Ces engagements m'obligent à un devoir d'efficacité et d'exemplarité après une absence** de représentation de l'île au Sénat pendant huit longs mois», écrit-il.
Guillaume Arnell revient en outre sur les principaux temps forts de sa première année de mandature, à Saint-Martin et à Paris : le vote de la loi Macron et la «difficile question des registres du commerce et des sociétés» en outre-mer, l'analyse du projet de loi sur la modernisation du droit de l'outre-mer, participation au forum pro-jeunesse, participation à la 4e rencontre des COM d'outre-mer et des rencontres avec de nombreuses personnalités (Jean-Pierre Chevènemet, l'ambassadeur d'Inde à Pari, la ministre Sylvia Pinel, etc.).
Editée à cinq cents exemplaires, cette première Lettre du sénateur est en distribution libre à l'Hôtel de la Collectivité et à la CCISM. Un exemplaire sera également donné aux membres du conseil économique, social et culturel (CESC). De plus, il le sera au sein de la permanence du sénateur, qui doit ouvrir très prochainement sur le boulevard de France à Marigot.
Le deuxième numéro devrait sortir en juillet cette année.
* La préfète Anne Laubies avait également été invitée.
** Le 31 décembre 2013, Louis-Constant Fleming avait démissionné de son poste de sénateur, à neuf mois de la fin de son mandat, laissant ainsi vacant son siège.